🍷 La Madeleine du Russey contrôlée positive sans avoir bu une goutte !

Le Russey – Incroyable mais vrai : après la fameuse madeleine industrielle accusée de déclencher les alcootests, c’est désormais Madeleine, habitante bien connue du Russey, qui s’est retrouvée contrôlée positive à l’alcoolémie… sans avoir touché un verre. Dans le Haut-Doubs, on ne parle plus que de cette confusion improbable et hilarante.

🤦‍♀️ Madeleine positive : « Pourtant, j’ai bu que du sirop ! »

L’histoire aurait pu rester une simple anecdote, mais elle est devenue l’affaire de la semaine au Russey : Madeleine, retraitée de 72 ans et personnage emblématique du village, a été arrêtée lors d’un contrôle routier de routine. Stupeur générale : l’éthylotest vire au rouge. Pourtant, Madeleine affirme n’avoir consommé que du sirop à l’eau depuis le déjeuner.

La principale intéressée n’en revient toujours pas :

« J’ai dit au gendarme que je m’appelais Madeleine, pas que j’en avais mangé ! Il m’a regardée bizarrement, et là, tout a dérapé… »

🧑‍✈️ La confusion qui rend fou les gendarmes

Il faut dire que les militaires, encore perturbés par l’affaire récente de cette madeleine industrielle déclenchant les alcootests, n’ont pas saisi immédiatement la nuance. Entre la pâtisserie alcoolisée et Madeleine du Russey, c’est la confusion totale.

Un gendarme, embarrassé par l’incident, témoigne anonymement :

« Forcément, quand elle nous dit qu’elle est Madeleine et qu’elle vire positif, on s’est dit que c’était encore cette histoire de gâteau. En plus, avec tout le Pontarlier-Anis et le Morbier qu’on retrouve ici, on finit par suspecter tout le monde, même les dames les plus respectables du village. »

🥃 Effet Pontarlier-Anis ou Morbier suspect ?

Dans les cafés du Haut-Doubs, l’affaire fait jaser. Pour les habitués, c’est clair : l’air local, saturé d’effluves anisés de Pontarlier et parfumé par les caves à Morbier, suffit à rendre positif même sans boire une goutte.

Gisèle, célèbre chroniqueuse locale et ancienne patronne du tabac-presse de Morteau, n’hésite pas à pointer du doigt les vrais coupables :

« On accuse La Madelon, mais faut pas s’étonner ! On respire tellement de Pont à longueur de journée que nos poumons en distillent tout seuls. Quant au Morbier, c’est bien connu : y’a tellement de fermentation que ça se retrouve forcément dans le souffle. »

🍰 Madeleine, victime d’une double réputation

Madeleine, de son côté, ne cache pas son agacement face à cette double injustice :

« Déjà qu’à cause de mon prénom, on me fait tout le temps la blague du gâteau, maintenant voilà qu’on me traite d’alcoolique ! Demain, ce sera quoi ? On m’accusera de braquer la banque de Maîche avec une tarte au sucre ? »

Les voisins du Russey, solidaires, envisagent même de créer un comité de soutien, ironiquement baptisé « Les amis sobres de La Madelon ».

🦔 Le hérisson, témoin clé toujours en cavale

Comme souvent dans ces situations délicates, un témoin improbable a été aperçu sur les lieux : le hérisson local, aperçu zigzaguant dangereusement sur la chaussée au moment du contrôle. « Lui aussi, sûrement positif », plaisante le brigadier-chef Chaudard, témoin direct de la scène. « À force de lécher les restes de Pont qui traînent après l’apéro des voisins, il n’y a rien d’étonnant. »

🚗 Conseils pratiques pour éviter d’être confondu avec un gâteau alcoolisé

Voici quelques astuces locales pour éviter une mésaventure similaire :

• Toujours préciser aux gendarmes que vous êtes un être humain et non une pâtisserie.
• Éviter de circuler à proximité d’une distillerie d’anis ou d’une cave à Morbier avant un contrôle routier.
• Garder à portée de main une bouteille d’eau pour rincer immédiatement toute trace éventuelle de fermentation buccale.

🙃 La proposition choc du MHDGA

Gérard Poncet, candidat haut-doubien du Mouvement du Haut-Doubs – Gens Authentiques (MHDGA), a immédiatement réagi avec une proposition radicale :

« Pour éviter ces contrôles abusifs, je propose d’instaurer un permis spécial pour tous ceux qui s’appellent Madeleine, Gaufrette, ou Kouign-Amann. Et puis tant qu’à faire, on pourrait obliger les gendarmes à suivre un stage de reconnaissance pâtissière, ça éviterait bien des malentendus ! »

La proposition fait rire, mais qui sait, elle pourrait bien finir en délibération au prochain conseil municipal.

🍹 Conclusion : une affaire typiquement haut-doubienne

En attendant, l’histoire du Russey rappelle une chose essentielle : dans le Haut-Doubs, il ne suffit pas d’être sobre pour éviter l’alcoolémie positive, encore faut-il porter un prénom qui n’inspire pas la gourmandise.

Quant à Madeleine, elle promet désormais d’éviter toute pâtisserie en public, histoire de ne pas aggraver son cas. À bon entendeur, salut !