Nous en parlons beaucoup dans nos éditions, mais nous ne l’avons pas encore présenté. Qui est Djäysonne, notre stagiaire de 6ème ?
Outre un as de la blague, concurrencé par Libération ou L’Equipe régulièrement, c’est un sacré phénomène.
Nous l’avons confronté à l’exercice du portrait chinois, par lui-même et par la rédaction. Retour sur la présentation de la mascotte de la rédaction.
Djäysonne par Djäysonne notre stagiaire de 6ème
Si Djäysonne était une couleur, il serait le jaune, pour son optimisme et son énergie rayonnante.
Si Djäysonne était un animal, il serait un écureuil, toujours curieux et vif, prêt à dénicher la moindre information.
Si Djäysonne était un objet, il serait un stylo à plume, symbolisant sa passion pour l’écriture et les belles phrases.
Si Djäysonne était une saison, il serait le printemps, pour son dynamisme et sa fraîcheur.
Si Djäysonne était un plat, il serait une pizza, simple mais universellement appréciée.
Si Djäysonne était un son, il serait le crépitement des touches d’un clavier, rapide et déterminé.
Si Djäysonne était un superpouvoir, il serait l’invisibilité, pour pouvoir observer et apprendre discrètement de son environnement.
Djäysonne par Wikipedia
Djäysonne est né en 2013 dans une petite ville de province. Enfant unique, il grandit dans une famille aimante, mais sans grandes ambitions.
À l’école, Djäysonne se montre plutôt rêveur et peu concentré, ce qui lui vaut quelques difficultés scolaires.
Malgré tout, il finit par décrocher un stage dans la rédaction d’un journal local, grâce à un parent éloigné. Ses collègues le trouvent sympathique, mais notent qu’il peine parfois à suivre le rythme. Ce stage lui offre cependant une première expérience professionnelle précieuse.
Djäysonne par la rédaction – notre Gaston Lagaffe à nous
C’est comme le Raïs, mais en garçon de bureau.
Si Djäysonne était une couleur, il serait le beige, discret mais parfois un peu effacé.
Si Djäysonne était un animal, il serait un paresseux, souvent lent à comprendre, mais attachant à sa manière.
Si Djäysonne était un objet, il serait un vieux réveil, pas toujours très précis, mais on l’aime bien quand même.
Si Djäysonne était une saison, il serait l’hiver, parfois un peu froid, mais on espère toujours qu’il va s’éclaircir.
Si Djäysonne était un son, il serait un bourdonnement, toujours présent, même si on n’est pas toujours sûr de ce qu’il fait.
Si Djäysonne était un superpouvoir, il serait l’invisibilité, pour qu’on l’oublie.
C’est sûr que vu comme cela, Djäysonne suscite les railleries de l’ensemble de l’openspace, et même de l’immeuble.
Nous vous remercions de le prendre en pitié et d’être aimable avec lui lorsque vous le croisez.
Djäysonne n’a pas de repos, c’est un flexé du travail. Nous l’exploitons sans vergogne. Lorsque vous le voyez déambuler avec sa tenue improbable sur le dos dans nos belles contrées, c’est nécessairement que nous l’avons envoyé réaliser une quelconque tache subalterne qui nous ennuyait profondément.
Vous comprenez pourquoi il faut être aimable. Et avec un peu de chance, il vous gratifiera d’une de ses blagues dont il a le secret.
