Neuilly-Sur-Seine (Hauts-De-Seine) – L’actualité nationale vient encore frapper à notre porte, et pas avec un bouquet de fleurs. Ce jeudi, la justice a confirmé la condamnation de Nicolas Sarkozy à une peine de prison ferme. Pendant ce temps, Patrick Balkany — qui connaît le chemin des prisons françaises comme nous celui de la fromagerie — a obtenu une libération médicale grâce à son médecin, un praticien déjà réputé pour ses diagnostics aussi souples qu’un reblochon en plein mois d’août.
Et c’est là que l’histoire prend une tournure que seul un rédacteur en chef de l’Ouest Républicain peut juger crédible : Nicolas Sarkozy aurait été aperçu en train de rendre une petite visite au fameux médecin de Levallois. Chez nous, dans le Haut-Doubs, on appelle ça « anticiper l’hiver » : on sort le bois, on commande les clous, et parfois on réserve son certificat médical, au cas où.
Dans cet article
🩺 Le médecin miracle : un Marabout du fisc ?
« S’il veut une vraie excuse médicale, qu’il vienne fendre du bois à Mouthe par -25°, on verra combien de temps il tient »
Un anonyme du Café de La Poste
Balkany a bâti sa réputation sur des villas, des piscines et quelques oublis fiscaux. Mais son vrai coup de génie, c’est d’avoir trouvé le médecin capable de transformer une cellule en maison de convalescence avec vue sur jardin. Les Doubistes, qui connaissent la dureté de l’hiver et les vraies lombalgies après deux stères de bois rentrés à la main, regardent ça avec circonspection.
« Si ce docteur pouvait nous faire une ordonnance pour éviter de pelleter devant le garage en février, on signerait tout de suite », souffle Raymond, croisé au marché de Morteau entre un plateau de Mont d’Or et deux bouteilles de Pont.
🚗 Sarkozy : de l’Élysée au certificat médical
La scène rapportée par un témoin (le même qui avait vu Gisèle acheter ses tickets de loto à la presse de Morteau avant de dire « jamais deux sans trois ») est claire : Nicolas Sarkozy serait arrivé discrètement chez le médecin de Patrick Balkany. Non pas en scooter comme Hollande, mais en voiture banalisée, façon SUV frontalier avec plaques suisses.
Une attitude qui fait sourire Gérard Poncet, notre moustachu maison du MHDGA :
« Nous, dans le Haut-Doubs, quand on va voir le médecin, c’est pour un certificat de biathlon scolaire ou pour un arrêt de travail quand la scie circulaire a ripé. Pas pour éviter la prison. Mais bon, chacun son terroir. »
🦔 Le hérisson, encore et toujours
Pendant que l’ancien Président sortait du cabinet, un hérisson traversait la route, comme pour rappeler que dans la vraie vie, les seuls qui réussissent à échapper aux barreaux, ce sont ceux qui savent se faufiler entre deux roues de SUV allemands.
Le hérisson, mascotte routière du Haut-Doubs, n’a d’ailleurs pas souhaité commenter la situation, préférant se concentrer sur ses lombrics.
🏔️ Quand Paris s’enrhume, le Haut-Doubs éternue
On pourrait croire que ces affaires parisiennes n’ont rien à voir avec nous. Mais dans les cafés de Pontarlier et de Villers-le-Lac, on en parle comme si Sarkozy était en train de consulter directement à l’hôpital de la ville.
« S’il veut une vraie excuse médicale, qu’il vienne fendre du bois à Mouthe par -25°, on verra combien de temps il tient », lâche un client du Café de la Poste.
📻 Radio Plein Air en mode Breaking News
Évidemment, Radio Plein Air s’est emparée du sujet avec son ton inimitable. Entre une annonce de loto, une dédicace de Johnny et la météo agricole, l’animateur a glissé :
« Mesdames, messieurs, si vous avez mal au dos ou un casier judiciaire trop lourd à porter, sachez qu’il existe des médecins magiciens. Par contre, on n’a pas encore trouvé leur cabinet à Pontarlier. »
🇫🇷 Géopolitique de comptoir
À l’international, POTUS aurait balancé son putter à la mer à Mar-a-Lago en apprenant que Sarkozy risquait vraiment la prison. Son homologue russe aurait évoqué la possibilité d’une attaque de drones ou de brouteurs contre la magistrature française.
Pendant ce temps, la diplomatie française tente de rester digne : après avoir reconnu l’État palestinien, on hésite désormais à reconnaître le droit à un « médecin miracle » pour tous. Dans le Haut-Doubs, on a déjà tranché : priorité à ceux qui savent diagnostiquer une sciatique causée par un tronc de sapin trop lourd.
🧀 Conclusion façon Comté affiné
Sarkozy condamné, Balkany libéré, et nous, dans le Haut-Doubs, on continue à vivre entre Comté, neige et certificats de sport. Mais une certitude demeure : si la République du Saugeais devait gérer la justice, les choses seraient plus simples. Un tampon, une fricassée de patates, et l’affaire serait réglée.
Jusqu’à preuve du contraire, le seul médecin qui fait vraiment des miracles ici, c’est celui qui réussit à nous remettre debout après une raclette trop chargée.
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