đźš— Pas de licenciement surpris dans le Haut-Doubs : ici, on roule seul dans son SUV

Paris (LGV Sud-Est)- C’est tombé dans les colonnes de Ouest-France comme une rondelle de saucisse de Morteau oubliée dans la soupe : une DRH parisienne aurait discuté d’un licenciement dans un TGV, entendue par un passager compatissant qui a ensuite prévenu l’employé. Résultat ? Scandale, TikTok en feu, plateaux TV en surchauffe.

Alors forcément, dans le Haut-Doubs, une question s’impose : est-ce que ça pourrait arriver chez nous ? Spoiler : non. Et pour une raison simple comme un pneu neige en avril : tant qu’on n’a pas de FER (Frontalier Express Régional), on ne risque rien.

đźš™ Ici, pas de TGV, juste des SUV

Il faut le rappeler : chez nous, le TGV, c’est une chimère. On l’a aperçu une fois à Besançon, mais à Pontarlier, Morteau ou Villers-le-Lac, on n’a jamais vu autre chose que la ligne de camions coincés sur la RN57.

Alors pendant qu’à Paris les DRH bavardent trop fort dans leurs trains à grande vitesse, ici, chaque frontalier trace sa route seul dans son gros SUV allemand. Pas de carré 1re classe, pas de passager indiscret, juste un conducteur solitaire qui rumine dans son cuir chauffant.

La confidentialité RH est totale : personne ne vous entend quand vous insultez votre chef en écoutant Radio Plein Air.

📱 La confidentialité, version Haut-Doubs

Chez nous, la vraie fuite d’informations, ce n’est pas une DRH bavarde, mais un badge accroché au rétro. Tu croises ton voisin à La Cluse, coincé sur la RN57 entre Pontarlier et la frontière, et hop, tu sais où il bosse. “Tiens, il est passé de Nestlé à Rolex !” Voilà la version doubienne du leak RH.

Pas besoin de TikTok pour ça. Une discussion à la pompe à essence ou devant la fruitière à comté suffit à faire circuler l’info plus vite que n’importe quel réseau social.

🦔 Même le hérisson reste discret

Le seul risque d’interception dans le Haut-Doubs, c’est encore ce hérisson facétieux qui traverse la RN57 à l’improviste. Mais même lui, entre deux traversées suicidaires, n’irait pas répéter un licenciement. La faune locale a plus de pudeur que certains DRH parisiens.

🍖 Si licenciement il y a…

Dans le Haut-Doubs, un licenciement ne se fait pas dans un train, mais à la boucherie. On appelle ça :
– “Tu passes plus la frontière.”
– “Garde ton badge.”
– “Et prends une saucisse de Morteau pour la route.”

C’est sec, mais ça a le mérite d’être franc. Et entre nous, vu les salaires suisses, celui qui se fait lourder le vendredi retrouve un poste le lundi. Pas de temps pour pleurnicher sur TikTok.

🎩 La version Poncet du MHDGA

Évidemment, Gérard Poncet du MHDGA a son avis. Pour lui, le problème, c’est le train en lui-même. “Si on avait pas laissé filer nos lignes, on aurait pas besoin de ce fameux FER. Mais comme on a que des SUV, au moins, la discrétion est garantie. Dans ton C15, personne n’écoute tes secrets.”

Il propose donc que le futur Frontalier Express Régional intègre des compartiments insonorisés. Pas pour le confort, mais pour éviter que le voisin entende qu’on s’est fait virer. On ne sait pas si c’est sérieux, mais c’est dit.

Licenciement dans un TGV ? Dans le Haut-Doubs, impossible : pas de train, chacun roule seul en SUV, loin des oreilles indiscrètes.

đźš§ Conclusion locale

Tant qu’on n’a pas notre FER, impossible d’avoir un licenciement entendu par hasard. Ici, tout reste confiné dans le silence des routes gelées, des garages trop grands pour une Clio, et des SUV trop gros pour les parkings du centre-ville.

Le jour où le Frontalier Express Régional existera vraiment, on pourra peut-être craindre de croiser une DRH trop bavarde dans un wagon. En attendant, chacun continue son business en solitaire, à l’abri des oreilles indiscrètes.

#FER #HautDoubs #SUV #MHDGA #Pontarlier

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