đŸ„ƒMarie Sinfiltre chassĂ©e d’un cafĂ© a Marseille : elle avait commandĂ© un Pont au lieu d’un Ricard

MARSEILLE – Territoire inhospitalier pour les amateurs d’anis dignes de ce nom.
Le Sud a encore frappĂ©. Ce dimanche 27 juillet, Marie Sinfiltre – humoriste, youtubeuse, provocatrice et visiblement patriote du gosier – a Ă©tĂ© exfiltrĂ©e manu militari d’un cafĂ© marseillais aprĂšs avoir osĂ© commander un Pontarlier Ă  la terrasse du Vieux-Port. Une tragĂ©die nationale Ă  l’anis.

🍋 L’attentat anisĂ© : un Pont en plein territoire Ricard

Selon nos informations recoupĂ©es avec l’agence rĂ©gionale de surveillance des apĂ©ritifs, l’humoriste – de son vrai nom Marie Benoliel – aurait poliment demandĂ© :

« Bonjour, un Pont, s’il vous plaĂźt. Sans glaçon. Comme chez Bouvard. »

Ce Ă  quoi le serveur, visiblement formĂ© Ă  l’école Jean-Claude Gaudin du rĂ©gionalisme corsĂ©, aurait rĂ©pondu :

« Quoi ? Un Pont quoi ? Vous ĂȘtes perchĂ©e ou quoi ? Ici on boit du Ricard ou rien. »

Les tĂ©moins rapportent que l’ambiance a tournĂ© vinaigre plus vite qu’un jaune mal dosĂ©. Un client aurait criĂ© :

« Elle est juive ET elle boit pas du Ricard ?! C’est un complot du Hauts-Doubs ! »

Une autre cliente aurait murmuré :

« Le Pont, c’est une boisson de la montagne
 Et la montagne, c’est le Front. »

đŸš« Une violence symbolique : le choc des terroirs

Face Ă  l’hostilitĂ© croissante, Marie Sinfiltre a tentĂ© d’expliquer calmement qu’elle Ă©tait « attachĂ©e aux traditions françaises » et que le Pontarlier – boisson historique de la RĂ©publique laĂŻque, jadis prĂ©fĂ©rĂ©e de FĂ©lix Faure (avant sa derniĂšre pipe) – valait bien un petit pastis des familles.

Mais rien n’y a fait. L’ambiance Ă©tait dĂ©jĂ  au vinaigre de lavande.

Un homme aurait tapĂ© du pied en scandant « Ricard ou dĂ©gage ! », pendant qu’un autre prĂ©parait une dose de 51 avec une rage qui Ă©voquait plus Mussolini que Mistral.

Un hérisson tentant de traverser discrÚtement le trottoir en a profité pour faire demi-tour. Lui non plus ne voulait pas finir anisé.

📍 Marseille, capitale du rejet ?

ContactĂ©e par notre rĂ©daction, GisĂšle – ancienne tenanciĂšre du tabac-presse de Morteau – ne cache pas sa colĂšre :

« Alors comme ça on peut mĂȘme plus boire un Pont dans ce pays sans se faire cracher dessus ? Mais oĂč va la France ? Et l’apĂ©ro rĂ©publicain, alors ? Ils veulent quoi ? Des shots de tahin ? »

Au QG de campagne du MHDGA à Pontarlier, une cellule de crise a été ouverte. Gérard Poncet, en gilet sans manche et visiblement échauffé, a lancé :

« On va envoyer un stock de Pont gratuit à Marseille. On va les rééduquer, bordel. »

Le MHDGA a réagi dans un communiqué non sollicité :

« Quand une femme libre ne peut plus commander un Pont en France sans subir de pression gĂ©o-gastronomique, c’est que notre pays a perdu ses repĂšres. Nous demandons l’inscription du Pont au patrimoine de l’UNESCO. »

⏱ Et maintenant ?

Marie Sinfiltre aurait promis de revenir au mĂȘme bar, le lendemain, pour recommander un Pont, en silence, dignement, et y ajouter une assiette de cancoillotte pour choquer dĂ©finitivement les esprits.

En attendant, les dĂ©fenseurs de l’apĂ©ritif libre se mobilisent : une manifestation est prĂ©vue dimanche prochain Ă  11h sur la place d’Arçon, avec distribution gratuite de Pont, rondelles de saucisson, et lectures de La Peste Ă  haute voix.

Marie Sinfiltre chassĂ©e d’un cafĂ© Ă  Marseille : elle avait commandĂ© un Pontarlier au lieu d’un Ricard. Trop d’anis tue l’apĂ©ro rĂ©publicain.

Le Ricard est prévenu.
Le Haut-Doubs résiste.

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