🚴 Tour de France à Pontarlier : les 4 galères imposées par l’organisation

Le Tour de France arrive samedi 26 juillet à Pontarlier. Une fête du vélo pour certains, un enfer logistique pour d’autres. En ligne droite, entre les coups de peinture sur la chaussée et les coups de klaxon dans les bouchons, les Doubistes ont tranché : ça pédale dans la choucroute.

🤡 Une organisation à contre-sens

Depuis une semaine, les arrêtés municipaux tombent plus vite qu’un coureur sans bidon : rues barrées, stationnements supprimés, contre-ordres en rafale. Une confusion qui fait réagir les habitants, comme cette internaute résignée :
« Bien contente de vivre dans mon petit hameau reculée et de ne pas avoir à supporter ce cirque… »
Ambiance.

Face à l’absurde, certains rivalisent d’ironie :
« En montgolfière c’est mieux », propose un visionnaire. D’autres optent pour la stratégie canapé :
« Moi je vais le regarder à la télé. »
Au moins, ça évite de chercher une place.

🚗 Stationnement : mission impossible

C’est le point noir du parcours : où se garer ? Sur les toits ? Dans les arbres ? Nulle part.
« Pour garer la voiture ça va être compliqué », prédit un commentaire… qui se voudrait prémonitoire, mais qui arrive trop tard.

Et ce n’est pas fini : un artisan du coin tire la sonnette d’alarme (et probablement un câble) :
« Perso je suis artisan et vendredi soir on m’empêche d’aller travailler, ce qui est inadmissible… Je ne manquerai pas d’envoyer une facture à M. le Maire pour les heures que je ne pourrai pas faire. »
Et d’ajouter, en guise de bénédiction météorologique :
« Il va visiblement pleuvoir et c’est tant mieux. »
Le Tour de France, ou comment faire l’union sacrée… contre lui.

🎉 Dernier tour de piste pour la mairie

Dans le peloton des critiques, une pique plus politique franchit la ligne :
« C’est quand même super bien de terminer le mandat du maire depuis 20 ans, celui qui a le plus contribué au déficit de la commune et aux investissements les plus farfelus. Il fallait bien qu’il ait son arrivée du Tour à 1 million d’euros. Quelle magnifique fête de départ. »

On a vu des pots de départ plus sobres, c’est vrai. Mais rarement avec autant de semi-remorques, comme le rappelle un suiveur averti :

« Bah normal, il y en a qui n’ont pas écouté les recommandations de l’équipe technique du TDF, qui prévoit de prendre une marge de 24h pour dégager les véhicules restés. Ils ont le marquage à faire pour caser 120 semi-remorques 🤣 »

🌧️ Râler sous la pluie, un sport local

Au final, ce qui devait être une fête populaire prend des airs de sitcom doubiste. Entre les sarcasmes champêtres –
« Ha s’con est bien à la campagne 😁 » –
et les plaintes dignes d’un col de catégorie Humeur Noire –
« Ils nous soûlent avec leur tour de France »,
on sent une ambiance électrique… ou plutôt, électro-entretenue par des giratoires fermés et déformés.

On attend désormais avec impatience le retour à la normale. Ou pas.

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