🍸Ivre, il vandalise un radar, mais laisse ses clés sur place – Incroyable

Alerte Réseaux Sociaux de la part de Djäysonne, notre stagiaire. Il faut savoir qu’en plus de se faire tirer les oreilles pour nous servir un café infecte, notre stagiaire a la mission d’exercer une surveillance constante sur les réseaux sociaux. Surveillance pour laquelle il excelle puisque son papi lui a appris Maréchal, nous voilà ! avant l’alphabet.

Vandalisme radar
Conduite en état d'ivresse
Radar endommagé
Clés laissées sur place
Incident routier
Le message Facebook qui a mis la puce à l’oreille de Djäysonne

Pontarlier (Doubs) – La nuit dernière, un homme manifestement sous l’emprise de l’alcool a décidé de prendre la justice routière en main… ou presque. Armé d’une bouteille de Pontarlier vide et d’une détermination bancale, il s’en est pris à un radar automatique sur la D437, furieux contre l’objet de ses nombreuses contraventions passées. Après plusieurs tentatives infructueuses pour briser la vitre de protection, il a fini par s’acharner sur le poteau, laissant quelques bosses et beaucoup de frustration.

Ivre, un oubli qui coûte cher

Mais voilà, dans sa folle entreprise, notre vengeur anonyme a commis une erreur fatale : il a laissé ses clés de voiture sur les lieux du crime.

Une preuve incontestable qui a permis aux gendarmes, arrivés sur place peu après, de remonter jusqu’à lui en un temps record. Il n’a pas fallu longtemps pour retrouver l’auteur des faits, toujours dans un état second, à quelques kilomètres de là, tentant de déverrouiller sa voiture avec une feuille de papier qu’il croyait être un double de clé.

Des poursuites judiciaires rapides

Interrogé au poste, l’homme a tenté de justifier son acte en affirmant que le radar « l’avait regardé de travers » et qu’il « en avait assez de se faire flasher à chaque fois qu’il dépassait les 90 km/h de seulement 30 km/h parce qu’il possède une trop grosse berline allemande ». Les forces de l’ordre ont eu du mal à garder leur sérieux face à ces justifications farfelues.

Le radar, quant à lui, s’en sort avec quelques éraflures et une bonne histoire à raconter aux autres radars du coin. L’homme, lui, devra faire face à la justice pour dégradation de bien public et conduite en état d’ivresse. Une leçon peut-être un peu trop coûteuse pour avoir voulu jouer les justiciers de la route.

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